assmae
Messages : 38
Date d'inscription : 08/10/2007
Age : 36
Localisation : rabat
 |  Sujet: la psychologie  Mer 17 Oct - 13:35 | |
| I) Introduction Aujourd’hui nous entendons beaucoup parler de psychologie à la télévision, à la radio, dans les revues etc… La psychologie est une science (dont le titre existe depuis 1986) qui a émergée au cours du 19ème siècle. Elle ne concerne que des étapes de la vie. Les théories peuvent être opposées, mais suivant le cas de la personne, on prendra l’une ou l’autre C’est un médecin qui a fait des études et une spécialisation qui conçoit les phénomènes pathologiques d’un point de vue médical. Il étudie et traite les maladies mentales en analysant les symptômes :
- Il pose un diagnostic
- Il est habilité à donner des médicaments pour soigner la maladie mentale.
(Il fait moins d’études que le psychiatre)C’est un professionnel de la psychologie appliquée. Il est spécialiste dans l’étude du fonctionnement humain et du psychisme et pas seulement du point de vue psychopathologique. Il étudie les phénomènes psychiques (maladies mentales) et les comportements humains. C’est un domaine varié ce qui peut entraîner une spécialisation :
- Psychologues cliniciens (a une pratique réelle auprès du malade)
- Psychologues du travail (s’intéressent à ce qui se passe dans une institution)
- Psychologues scolaires (concerne les enfants et l’éducation)
- …
Il est habilité à utiliser le test de QI et les tests de projection (TAT, Rorcha) Il fait un travail d’analyse sur soi. C’est un spécialiste de l’inconscient comme FREUD l’a défini. Il peut avoir 2 orientations FREUDIENNE ou LACANIENNE. L’activité particulière du psychanalyste résulte dans :
- L’écoute et l’interprétation des formations de l’inconscient
- C’est celui a qui on raconte ses rêves
C’est une personne qui soigne le psychisme avec une méthode particulière. Il y plusieurs formes de psychothérapies basées sur:
- La suggestion
- L’hypnose
- Le corps
- La psychanalyse
Dans tous les cas, une relation thérapeutique implique un transfert. L’idée dans la psychothérapie, c’est de permettre au patient d’acquérir un certain savoir sur lui-même et mieux vivre ensuite. La règle en est la libre expression | |
|
assmae
Messages : 38
Date d'inscription : 08/10/2007
Age : 36
Localisation : rabat
| | Sujet: suite Mer 17 Oct - 13:37 | |
| C’est le spécialiste des phénomènes psychomoteurs :
- La temporalité
- L’espace
- L’attention
- La concentration
Il rééduque les personnes grâce à des méthodes non verbales Il n’y pas qu’une psychologie mais des psychologies en fonction de :
- L’objet d’étude
- Des méthodes
- Des « personnes » (âgée, adulte, enfant, handicapé…)
II) Les différentes psychologies
- Le béhaviorisme (comportementalisme)
C’est le premier courant fondateur de la psychologie en tant que science, c’est à dire qu’il est basé sur une observation et une expérimentation. C’est don un courant expérimental. Ici on ne parle pas de psychisme, mais de l’organisme et des comportements.WUNDT créa le premier laboratoire d’observation des comportements en 1879 : Il a observé
- La vision
- Le toucher
- L’affectivité
PABLOF est un physiologiste qui a fait des expériences basées sur l’observation et la répétitivité des données : Le réflexe conditionné. Pour mettre en avant le réflexe conditionné, il a utilisé un stimulus extérieur. Il a associé le son de la cloche, à la nourriture (c’est un conditionnement de type I) SKINNER à la suite de PABLOF à découvert le conditionnement opérant de type II (cela ressemble plutôt au dressage. Pour lui, le stimulus c’est le but recherché et la réaction c’est le moyen de parvenir au but. WATSON a repris les conclusions de SKINNER et de PABLOF. Il a théorisé le tout et a continué les études dans la même lignée que SKINNER et PABLOF. Il a utilisé les rats pour qu’ils apprennent les couleurs par l’intermédiaire de chocs électriques. Pour que tout fonctionne sur ce principe la, c’est une notion d’apprentissage qui compte. C’est la preuve qu’in comportement peut être acquis par stimulus/réponse Ici on s’intéresse aux mécanismes de la pensée ainsi qu’aux deux réalités de l’inné et de l’acquis. Ils étudient :
- La mémoire
- Le langage
- Les phénomènes d’attention et de concentration
- Les phénomènes de résolution d’un problème
- Les phénomènes de décision
Dans les sciences cognitives, il y a
- La psychologie cognitive
- L’intelligence artificielle (étude du comportement humain par l’informatique, ici on ne pas peut étudier les émotions)
- Les neurosciences (On localise toutes les fonctions cognitives ou intellectuelles ou 1 lobe cérébral correspond à une fonction)
PIAGET à lui élaboré une théorie cognitive constructiviste qui permet d’adapter un programme scolaire à des enfants Il s’agit de la psychologie clinique : Le but de la psychologie clinique est l’investigation de la personnalité d’une personne considérée comme unique et singulière. C’est une branche née de la psychologie pathologique (qui s’intéresse à l’homme malade). La psychologie clinique essaye de comprendre l’homme sain (qui n’a pas forcément de maladie mentale) ainsi que de l’homme atteint de pathologies.On considère l’individu comme un être entier complet et indépendant. On prend également en considération les facteurs qui peuvent l’influencer : biologique, social et culturel. Il y aussi des branches de la psychologie clinique qui étudient les groupes, mais ici le groupe est pris comme un singulier La naissance de la psychologie pathologique et clinique a été évoquée par PINEL. Il a retiré les chaînes aux aliénés pour travailler plus humainement avec ces personnes. RIBOT : C’est le pionnier qui a posé les bases de la méthode clinique en observant la vie psychologique chez les personnes atteintes de pathologies et petit à petit il a mis au point la méthode clinique. Il s’est intéressé à l’histoire des gens pour comprendre qu’est ce qui fait qu’ils en sont arrivés là. Il a étudié les liens affectifs qui pourraient être en lien avec les pathologies psychologiques JANET : Il a pris la suite et fait les premières classifications. Il s’est surtout intéressé à l’observation, l’hystérie et l’angoisse. La maladie mentale n’est plus considérée comme biologiqueè Le malade devient acteur et on commence à traiter la maladie mentale. On met à jour des symptômes et on commence à comprendre la formation des maladies psychologiques LAGACHE : Avec lui naît l’essor de la psychologie clinique (après la 2ème guerre mondiale). Il définit la psychologie clinique par l’étude des conduites individuelles envisagées dans une conjoncture socio affective et culturelle déterminée
- Objet d’étude et ses méthodes
L’objet d’étude est l’individu en situation et en évolution (exemple, un deuil en fonction de l’évolution : au bout de 15 ans cela devient pathologique). On considère l’individu en inter action avec son entourage et son milieu. Le sujet d’étude est très complexe car il faut prendre en compte beaucoup de paramètres. La méthode clinique consiste beaucoup en une étude compréhensive. Il s’agit d’essayer de comprendre le sens du besoin de la personne (sans pour autant se mettre à sa place). On parle ici d’empathie : Il s’agit de créer un climat de chaleur, un intérêt pour ce qu’il vient de nous dire. Les techniques utilisées sont :
- l’entretien individuel (il peut être directif, semi-directif ou non directif)
- Les tests (QI, projectif…)
Pour pouvoir observer et comprendre le comportement du sujet, recueillir des données sur sa personne, son histoire, pour poser un diagnostic si besoin
- Le courant psychanalytique
A l’origine de ce courant il y avait 3 grands noms CHARCOT, BREUER, FREUD : CHARCOT était neurologue (mort en 1893) et intervenait à la Salpetrière. Il enseignait la psychiatrie et la psychopathologie. Il s’est retrouvé chef du quartier des épileptiques ou à l’époque, il y avait beaucoup d’hystériques. Il est à l’origine des recherches sur les patients hystériques. Il établit le tableau clinique (symptômes) de l’hystérie BREUER et FREUD (ses disciples) vont poursuivre les études de CHARCOT et mettre à jour que, dans les symptômes hystériques il n’y a pas de lésions organiques. Ils vont en conclure que certains symptômes hystériques seraient dus à un affect traumatisant infantile (cet affect n’aurai pas réellement un lien, c’est peut être un fantasme). | |
|
